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Québec, le 12 octobre 2021 | Réuni avec son équipe de candidat.e.s au Parc Dollard-des-Ormeaux situé dans le parc industriel Saint-Malo, Bruno Marchand s’est engagé, au lendemain du 7 novembre prochain, à revoir la philosophie avec laquelle la ville de Québec développe ses parcs industriels.

«Actuellement, la réglementation entourant nos parcs industriels limite les entreprises dans leur capacité à innover et à se développer sans passer par l’acquisition de terrains supplémentaires, notamment en limitant chaque lot à un seul bâtiment et en imposant un nombre de cases de stationnement bien précis. D’un côté, on sous-utilise nos espaces industriels actuels, et de l’autre, la ville continue de sacrifier des espaces verts pour y construire plus d’espaces industriels. Ça ne fait absolument aucun sens».

Une réglementation assouplie qui favorise la densification des parcs industriels
Soutenant que la ville de Québec doit d’abord développer ses parcs à leur plein potentiel avant de songer à sacrifier ses espaces verts, Bruno Marchand s’engage à assouplir la réglementation concernant les parcs industriels de la ville de Québec, de façon à faciliter l’agrandissement des bâtiments actuels ainsi que le partage de ressources entre entreprises, notamment les stationnements ainsi que les différents accès aux infrastructures comme les quais de livraison.

«Ce n’est pas vrai qu’une entreprise qui doit ajouter une annexe à son bâtiment ou qui songe à acheter un équipement d’envergure doit absolument se tourner vers l’achat de terrain supplémentaire ou songer à déménager. Présentement, la ville agit comme un frein à l’innovation alors qu’elle devrait collaborer à trouver des solutions pour mieux occuper le territoire alloué à ses parcs industriels ».

Le candidat à la mairie de Québec croit également que l’assouplissement réglementaire lié à l’urbanisme des parcs industriels municipaux incitera un nombre croissant d’entreprises à déployer des initiatives liées à l’économie circulaire.

«Si on facilite la collaboration entre les entreprises situées sur un même territoire, on incite par le fait même à la mutualisation et à la valorisation de ressources entre les différents acteurs de nos parcs. Ça représente non seulement des économies d’énergie et d’espace considérables pour nos industriels, mais ça réduit également notre empreinte écologique collective» .

Des milieux de vie intéressants à même nos parcs industriels
Au-delà de l’assouplissement réglementaire permettant aux entreprises de se développer au sein des parcs industriels existants, Bruno Marchand soutient également que la ville de Québec doit contribuer à l’attractivité des entreprises situées dans ses parcs en développant des milieux de vie intéressants à même ses zones industrielles.

« Il faut arrêter de réfléchir nos secteurs industriels comme si on était en 1970! Ce que ça prend pour aider nos entreprises dans leurs efforts de recrutement, c’est plus de services à proximité comme des garderies et une offre alimentaire, sportive et récréative de base».

Le chef de Québec Forte et Fière insiste finalement sur l’importance de développer une offre de mobilité intéressante pour les secteurs industriels de la ville de Québec, au profit des professionnels qui y travaillent.

«La proximité de nos parcs industriels fait en sorte qu’on peut facilement y développer une offre de mobilité collective qui regroupe plusieurs types de transport, hiver comme été. Pourquoi ne pas en faire profiter les entreprises qui s’y trouvent en y déployant une offre de transport complètement intégrée? » conclut Bruno Marchand.

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